

Social themes, manners pictorial representations
Painting is an ideal medium for describing our society.
As essential as litterature or cinema.
A painting is a story summarized in one picture.
The classical form with its composition, volumes, light,
still has everything to express.


One pilot.
Pilots

HELL ANGEL.
Huile/toile. 100 x 100. 1997
Une partie de l'humanité commence à réaliser qu'elle n'a qu'une planète à sa disposition, la sienne. La protection de la nature devrait être notre urgence absolue.
Mes personnages, comme la plupart d'entre nous, n'en ont pas grand chose à faire, et se livrent à des actions sans queue ni tête, délétères pour leur environnement et pour leur santé. Leur anatomie occupe toute la place et domine l'image.

Hooligan déconfiné.
Huile/toile. 92 x 73. 2020.

Superman sauvant une playmate.
Dessin encre et bille. 2019.


Avenge-Us !
Johnnystar on crapper - T.V News
I like to use of irony. Humour is a self-defense system, a vaccine agains external agressions. It's also a tonic, because what makes me laugh makes me feel good.
Paradox gives birth to humour. I love using of paradox. When i paint a consumer with his cart, a TV viewer in his sofa, a hooligan, i want people to exclaim : " Oh ! How beautiful it is, how splendid !

19h45.
Huile/toile. 100 x 81. 2006

Gare au Cow-Boy.
Huile/toile. 130 x 97 2013.

The executioner's retreat




— and details. Oil/canvas. 100 x 81. 2011
Command by L'Aigle Town hall, for 30th anniversary
of death penalty abolition.
Article de Luis Porquet pour Les Affiches de Normandie, 2009.
"Si certains peintres ont l'obsession de ne pas troubler l'ordre établi, d'autres s'emploient à dénoncer les comportements de leur époque. Olivier de Rivaz, qui nous vient de Basse-Normandie, entre plutôt dans cette catégorie.
Doté d'un sens inné de la caricature, qu'il n'hésite jamais à pousser à outrance, ce peintre tout à fait sociable dénonce les nouveaux "Ubu", moins reluisants encore que le modèle d'Alfred Jarry. Entre les couinements de "Love Gun", mélange d'orifice anal et de hure porcine, et les imprécations du "Supporter Chapon", celui qu'on pourrait mettre à cuire après le match, il stigmatise les tares d'un monde basé sur la violence et l'écrasement des plus faibles. On a, en quelque sorte, le sport que l'on mérite, et les enjeux qu'il met en œuvre ne peuvent qu'accentuer la noirceur du tableau. (…)
Refusant le compromis, de Rivaz charge la bête. Du "Supercop" armé à l'animateur du J.T, du chasseur compulsif au prédateur bourré de cognac, il fustige les champions de la difformité humaine en affublant ses œuvres de légendes mitonnées : "De l'actualité, c'est le cordon bleu" nous dit-il d'un présentateur d'actualités télévisées, ou encore de cet autre : "On pourrait l'appeler Milou, car pour l'info, on fait tintin".
Voilà pour quelques têtes de chiens. Mardi Gras rassemble ses troupes. Les zombies bedonnants du peintre ne sont que des tubes digestifs (…) sur lesquels surfent les nouveaux maîtres de l'arnaque et du mensonge bien emballé. Leur rictus a de quoi faire trembler la démocratie. Rassurez-vous, ce n'est que de la peinture. Tout va bien. Le désordre est sauf. S'en donnant à cœur joie, de Rivaz, qui est sans doute l'une des personnes les plus calmes que nous connaissions, s'amuse au dépens de l'absurde.
Olivier de Rivaz — peintre —Société